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Emissions GES
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Énergies renouvelables
Depuis plus de 20 ans, Paris agit avec ambition et détermination dans le cadre de son Plan Climat. Ce document central pour la planification écologique, fixe les objectifs, les orientations et le plan d’action pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, améliorer la qualité de l’air et adapter le territoire et la population aux conséquences du changement climatique. Après une concertation préalable engagée fin 2022, plusieurs mois de travaux collectifs et un premier passage au conseil de Paris en décembre 2023, le Plan Climat 2024-2030 entrera en vigueur fin 2024 et répond au tryptique : Plus vite, plus local et plus juste.
Un plan pour garantir l’habitabilité de Paris et sortir de l’ère fossile
Ce quatrième Plan Climat sonne la mobilisation générale pour garantir l’habitabilité de Paris dans un avenir proche, et engage le territoire dans une course contre la montre pour maintenir l’objectif de l’Accord de Paris de limiter le réchauffement climatique sous les 1,5°C, autour de deux séries d’objectifs :
Sur le volet “qualité de l’air” du Plan climat, en utilisant les leviers à sa disposition, la Ville de Paris se fixe pour objectif :
Enfin concernant l’adaptation, la Ville de Paris définira une trajectoire d’adaptation au changement climatique en se fixant plusieurs objectifs, dont :
La protection et l’accompagnement des personnes les plus fragiles est au cœur du projet de transformation écologique de la Ville de Paris. La succession des crises sanitaires et énergétiques ces dernières années ont eu de lourdes conséquences et particulièrement à Paris où le coût de la vie est plus élevé qu’ailleurs. Ainsi nous développerons des actions à destination des populations les plus fragiles, pour qu’elles n’aient pas à subir le froid et l’humidité l’hiver, et la chaleur l’été, qu’elles puissent avoir une alimentation saine, accessible et de qualité. Plus largement, Paris portera une attention particulière pour mettre en œuvre sa politique climat avec et pour les habitants des quartiers populaires, qui sont en première ligne des effets du changement climatique alors qu’ils y contribuent le moins.
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